26 décembre 2013
Alors, rien
Abroger d’espérances un
sentiment
perdu.
J’ai décortiqué les dernières heures.
Encore et encore.
Un film sans fin.
Dénouer les dénouements à s’en dénouer les peines.
Les ailes du lustre tournent tournent et tournent.
Je tourne et tourne, et tourne
des ombres s’échappent sur les murs
dessinent sur ma peau des îlots inconnus.
Un papillon s’agite.
Plus bas
Il est bleu
Je pense
Toujours.
Nous.
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S
S
L